Ma mère !
Si près !
Si loin !
Je t’aime !
Ma mère !
Qui me berçait dans ces bras !
Qui me consolait sans gène, sans embarras !
Comment pourrais-je t’oublié ?
Ma mère !
Qui garnissait mon ventre creux de ces plats fumant
Qui débarrassait sans relâche mon corps des fanges
Comment pourrais-je te haïr ?
Ma mère !
Qui fut la première à me guidé
Et à m’ouvrir les yeux dans ce monde
Comment pourrais-je ne pas t’obéir ?
O ! Ma mère, mon amour pour toi est sans borne
Et cela bien que tu ne sois plus à mes cotés!
Si près !
Si loin !
Je t’aime !
Ma mère !
Qui me berçait dans ces bras !
Qui me consolait sans gène, sans embarras !
Comment pourrais-je t’oublié ?
Ma mère !
Qui garnissait mon ventre creux de ces plats fumant
Qui débarrassait sans relâche mon corps des fanges
Comment pourrais-je te haïr ?
Ma mère !
Qui fut la première à me guidé
Et à m’ouvrir les yeux dans ce monde
Comment pourrais-je ne pas t’obéir ?
O ! Ma mère, mon amour pour toi est sans borne
Et cela bien que tu ne sois plus à mes cotés!